Les Clés d’une nouvelle Franc-Maçonnerie par le Corps

Depuis deux siècles, grâce à l’arrivée du machinisme, nous produisons davantage. Malheureusement, cela entraine une diminution de l’usage de notre corps. Si on y rajoute la surabondance des images, qui sollicite nos yeux au détriment de nos autres sens, il y a de quoi s’inquiéter. Dans beaucoup de domaines, l’automatisation remplace la force physique. Il en résulte que l’humain délaisse dangereusement son corps.

La franc-maçonnerie contemporaine en fait les frais. L’expérience initiatique se vit désormais dans la tête des candidats. Depuis la crise COVID, certains ont même instauré des Tenues en visioconférence. La respiration, la méditation, l’alimentation... sont devenues subsidiaires et n’intéressent que très peu d’initiés. Tout cela est un non-sens ! Si on veut éviter que l’Art Royal ne devienne une pratique exclusivement philosophique, nous devons remettre la chair au centre de notre action maçonnique.

Cet ouvrage, propose un décodage symbolique de notre pratique actuelle. Il ouvre des perspectives inconnues sur l’intégration des quatre nourritures du Franc-maçon. Il nous invite à nourrir nos Rituels de nouveautés… éprouvées en Chine depuis déjà 2500 ans. Bref, il ouvre des perspectives optimistes pour éviter à la Franc-maçonnerie de se classer dans la rubrique des folklores du passé.

À l’heure où des milliers de maçons démissionnent chaque année, ce livre pourrait bien ouvrir la voie à une maçonnerie du XXIè siècle.


Biographie de l'auteur :
Franck Fouqueray démarre sa carrière dans les arts martiaux, en collectionnant les coupes et médailles, puis en enseignant son savoir-faire. Il se lance ensuite dans la création d’entreprises au début des années quatre-vingts. Il fonde le Troc-Temps qui est l’ancêtre du premier «S.E.L.» en France. Il crée ensuite la première banque sans argent. Puis, il s’installe au Canada en 1994 et fait partie des pionniers de l’aventure Internet. Il a fait sa première demande d’entrée en Franc-maçonnerie à la Grande Loge de France en 1988. Cette demande se solde par un ajournement. Il persiste et finit par être initié au début de ce siècle.